If you like Skuggor, you may also like:

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  Damp Chill of Life
  by NONE

  supported by 51 fans who also own “Skogshypnos”

  NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable... Jordan Vauvert

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  Pale Swordsman
  by Këkht Aräkh

  supported by 49 fans who also own “Skogshypnos”

  very touching and unique black metal, love it! scheuermilch

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  Inevitable
  by NONE

  supported by 43 fans who also own “Skogshypnos”

  《 So many questions 》 — "Rest", Inevitable. NONE. La mort est une épée de Damoclès : elle va tomber et on en a conscience ; on ignore quand et on la redoute. Tel est le thème d'Inevitable. Pour pousser ce concept jusqu'au bout, NONE fait en sorte que ce quatrième album soit à double tranchants. Sur le plan quantitatif, DSBM et dark ambiant sont sur un pied d'égalité : si le premier est toujours aussi dévastateur, le second n'est pas là pour apporter du réconfort. L'incertitude, l'angoisse... Jordan Vauvert

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  Covenant of the Blackened Woodlands
  by Ithilrå

  featured on Bandcamp Radio Jan 19, 2024

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  The Deepening
  by Vemod

  featured on Bandcamp Radio Jan 19, 2024

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  Worldless
  by The Sun’s Journey Through The Night

  featured on Bandcamp Radio Aug 4, 2023

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  Life has gone on long enough
  by NONE

  supported by 43 fans who also own “Skogshypnos”

  On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert

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